Bientôt la première semaine d’écoulée, sur les route du Tour d’Espagne 2019. Au sortir d’une Grande boucle française animée et disputée, les jambes sont lourdes pour pas mal de coureurs, d’autres en profitent pour se révéler. La Vuelta, c’est le troisième grand tour du calendrier, après l’Italie et la France, pas forcément le plus prestigieux ni le plus rémunérateur. A Madrid, à l’arrivée le 15 septembre prochain, le vainqueur final de cette 74e édition recevra une prime de 150 000 euros, pour sa première place au général.
Un prize money deux fois moindre sur la Vuelta qu’en France
Elle est près de trois fois et demi moindre à celle gagnée par Egan Bernal, à son arrivée sur les Champs-Elysées, en juillet dernier. Le prize money total du Tour de France est pile deux fois supérieur à celui d’Espagne, cette année à 1,120 millions d’euros. Sont bonifiés les arrivées d’étapes (11 000€ pour les vainqueurs), les sprints intermédiaires, les passages en tête d’un col, les combatifs… Et tous les maillots distinctifs, avec une rente quotidienne pour ceux qui le portent.
150 000€ pour le vainqueur du Tour d’Espagne 2019
D’une édition à une autre, elles n’ont pas beaucoup évolué sur la Vuelta, si ce n’est en certaines places, comme la deuxième au général valorisée d’un peu moins d’un millier d’euros en plus. L’argent cumulé par les coureurs, au long des trois semaines de la course est traditionnellement partagé entre les membres d’une même équipe, en bonus aux efforts produits collectivement sur la route.