La fin d’une saison sportive ouvre, dans le foot, l’horizon d’une autre pratique : le marché des transferts. Comme un remède à la crise, certains le pensent, le trading est une pratique croissante dans le football français. Faut-il seulement avoir des joueurs qui progressent et se valorisent sur mercato. Ça n’est pas le cas partout dans les clubs, de la saison. 2020-21 de Ligue 1.
OM, OL, ASSE, FCGB ou Nantes ont des collectifs estimés moins cher
Le cabinet d’expertise comptable, KPMG, a observé l’avant et l’après des vingt collectifs du championnat ; ce qu’ils valaient à son commencement et l’évolution, une dizaine de mois plus tard. Près de la moitié d’entre eux (neuf)n ont un estimation donnée à la baisse, en ce mois de juin. Ce sont, pour la plupart des formations qui ont fini leur championnat, en-deçà des objectifs du départ, pour l’OM, l’OL, l’ASSE, les Girondins de Bordeaux, l’OGC Nice, le FC Nantes ou le Nîmes Olympique, relégué.
At its general assembly, over 97% of clubs in the French professional league (#LFP) voted in favor to reduce France’s #Ligue1 from 20 to 18 teams from the 2023/24 season. Ligue 1 was expanded to 20 teams in 2002. pic.twitter.com/V9MFNlGQiK
— KPMG Football Benchmark (@Football_BM) June 4, 2021
Le RC Lens meilleure progression et valorisation de la Ligue 1
Inversement, le RC Lens a plus que doublé sa valorisation entre son retour parmi l’élite et la fin de l’exercice. Le club nordiste est aussi celui qui progresse le plus, dans la hiérarchie des collectifs les plus chers en Ligue 1 ; vingtième au lancement, en août, il est le septième, avec Montpellier, à 101 millions d’euros.