A force de boulimie, dopée dans des contrats de diffuseurs et un merchandising monstrueux, il faut bien que les clubs de la Premier League anglaise laissent des joueurs sur le carreau. Mais ils arrivent que ces réservistes, au mieux, ou pire lofteurs soient payés comme des stars du ballon rond. C’est ce qui a inspiré au journal anglais The Sun, son équipe des joueurs du championnat les mieux payés, parmi tous ceux qui n’ont pas encore évolué sur le carré vert. Et qui ne sont pas prêts de le faire s’ils ne changent pas de crémerie.
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Cinq français dans le 11 des mieux payés de la Premier League qui n’ont pas encore joué
Ce Onze, tel que vous pourrez le voir à l’image ci-dessous, a l’accent très français. Ils ont cinq dans ce collectif dont trois qui forment l’axe défensif, de Mathieu Debuchy à droite, payé 70.000 livres par semaine, à Mamadou Sakho (75.000£), à gauche en passant Eliaquim Mangala (100.000£), dans l’axe. Y sont aussi Samir Nasri (120.000£ par semaine), au milieu à gauche et Loïc Rémy (180.000£) sur l’aile droite.
Des salaires en or et des joueurs qui refusent parfois de revoir à la baisse leurs prétentions
Le milieu de terrain composé de Cuadrado, Touré, Schweinsteiger et Nasri ferait raisonnablement le bonheur d’une quantité de clubs, mais au Royaume-Uni, aucun d’eux ne joue. Le problème, à recruter à tour de bras avec la promesse de salaires énormes, est que les joueurs ne retrouvent plus derrière, de rémunération aussi hautes. Or, plutôt que d’avoir à rogner sévèrement sur la fiche de paie, certains, parfois, préfèrent rester, même pour cirer le banc jusqu’à la fin du contrat.