La presse la surnomme « Miss Ronaldo« , ou encore « la copine de Cristiano Ronaldo« . Pourtant, cette jeune russe dispose d’un nom, un vrai. Elle s’appelle Irina Shayk. Force est de constater que sa liaison amoureuse avec le footballeur le plus célèbre du monde lui offre une renommée d’un tout autre calibre, ce qui ne va pas à l’encontre de son business. Loin de là. Mais cette Russe de 24 ans n’a, apparemment, pas besoin de son chéri pour amasser les liasses de dollars. Depuis 2007, avant même de connaître CR7, elle est apparue comme mannequin pour les marques La Perla, Lacoste, Paciotti 4US, Germaine de Capuccini, Armani Exchange, El Corte Ingles, Guess, Intimissimi, Martini, Triumph, et Victoria’s Secret. On rêverait de faire la rencontre d'une personne comme elle, en ligne ou bien en réel… Et elle a acquis sa renommée mondiale en posant dans le numéro spécial maillot de bain du magazine américain Sport Illustrated.
Irina Shayk n’achète jamais de bijoux, c’est Cristiano Ronaldo qui les lui paie..
Dans une interview récente pour le magazine GQ Afrique du Sud, on en apprend un peu plus sur Irina et son rapport avec l’argent. Elle vit à New-York. Et ce depuis deux ans. Elle se cherche d’ailleurs toujours un appartement dans le quartier de West Village, au coeur du borough de Mahattan. Mais en femme d’affaires avertie, elle possède également 6 appartements en location en Russie. Son dernier achat ? Une veste en fourrure « d’une valeur inestimable » pour sa soeur. Sa vision du couple paraît pour le moins machiste. Preuve en est avec ses habitudes dans les magasins: « Je n’achète jamais de bijoux, parce qu’une femme ne doit jamais acheter ses propres bijoux ». Traduction : heureusement que mon petit copain s’appelle Cristiano Ronaldo et qu’il fait partie des trois footballeurs les mieux payés au monde (revenus de Cristiano Ronaldo).
Irina Shayk incarne aujourd’hui, jusqu’à la caricature, la réussite de ces mannequins venues de l’Est et qui explosent aujourd’hui sur la scène internationale. Elle est née dans l’Oural, dans un petit village russe où il n’existe ni collège, ni université. Forcément, ça change de New York… Là-bas, les hommes travaillaient à la mine pour gagner leur vie, explique-t-elle dans son interview. Dans son nouveau monde, ils tapent dans un ballon pour ramener plusieurs millions d’euros à la maison.
Irina Shayk en plein travail, pour présenter la collection spécial maillots de bain 2010 de Sports Illustrated