Lui ne voudrait pas partir en cours de saison, alors que le Paris Saint-Germain est lancé sur orbite, dans toutes les compétitions qu’il dispute. Mais selon France Football, le défenseur belge Thomas Meunier ne serait pas totalement insensible non plus, à l’intérêt qu’il porte ailleurs en Europe dont l’Atlético Madrid en Espagne, qui le suivrait de près. C’est qu’à Paris, la concurrence est forte, notamment celle du Brésilien Dani Alves. Le PSG doit de surcroît faire des économies dans le cadre du fair-play financier, tandis que l’Atlético pourra cet hiver à nouveau recruter, après un été sans transfert, sur ordre du Tribunal arbitral du sport. Tout cela faisant qu’un mouvement n’est pas impossible, dès cet hiver. Ça coûterait combien de faire signer le défenseur du Paris SG, Thomas Meunier ? Focus…
Thomas Meunier s’est fortement valorisé depuis son transfert au Paris SG
En une saison et demi au Paris Saint-Germain, l’international belge de 26 ans s’est bien valorisé. Paris a versé 6 millions d’euros au Club Bruges, pour le recruter en juillet 2016. Aujourd’hui, Thomas Meunier vaut au moins le double, entre 12 et 15 millions d’euros, l’estimation de sa valeur marchande. Peut-être plus selon la position de son club sur le dossier. Il est au top de sa carrière, avec lui, Paris peut espérer une plus-value intéressante à la revente avec lui. Thomas Meunier a signé le 3 juillet 2016 avec le PSG, un contrat de quatre avec pour terme, la fin sportive de la saison 2019-2020.
Un salaire dans les cordes financières de l’Atlético Madrid
Question salaire, ensuite, Thomas Meunier avoisine les 260.000 euros bruts mensuels au Paris SG. C’est sans les primes additionnelles, négociées par ailleurs, soit une saison proche de 3,1 millions d’euros. Sans avoir les mêmes moyens financiers que ses rivaux du Real Madrid et du FC Barcelone, l’Atlético Madrid peut assumer ce salaire, même en considérant qu’il soit possiblement revalorisé, en faisant la bascule de la Ligue 1 vers la Liga espagnole. Le salaire de Thomas Meunier est bien inférieur à la moyenne du vestiaire parisien, supérieure au demi-millions d’euros bruts par mois, cette saison 2017-2018.