Christophe Alévèque s’est expliqué, par le biais de son avocat, sur les injures formulées à l’encontre de Zinédine Zidane ces dernières semaines (en voici un petit résumé). Monsieur Garbarini, avocat, donc, du comique, argumente sur le site du Parisien : « Christophe Alévêque s’est amusé à critiquer Monsieur Zinedine Zidane, avec son style, celui de la satire sociale et politique. »
L’humoriste ne vise pas l’homme, mais « le statut d’icône marchande de Monsieur Zinedine Zidane. Il a fait le choix de rester, après sa carrière de joueur, un personnage public et d’en faire le commerce. C’est dans ce contexte et surtout celui de la liberté d’expression et du droit à l’humour que cette critique a été formulée. »
Alévèque ne renie rien sur le fond
Christophe Alévèque, même s’il ne renie rien sur le fond malgré l’assignation en justice pour injure publique formulée par Zidane, concède à quelques excuses sur la forme et « regrette l’emploi de certains termes ». Son avocat ajoute : « il n’a fait qu’user d’une liberté de ton et d’un droit à l’insolence propre à tout humoriste et nécessaire au débat public».