Match à deux équipes – le Stade Rennais et l’ASSE – pour arracher la signature et les services de Denis Bouanga, l’ailier polyvalent du Nîmes Olympique. Selon la radio RMC, le club stéphanois tiendrait la corde avec une offre fixe proposée au club gardois. Cela ne fait pas encore un an pile que le natif de Paris a quitté Lorient pour les Crocos, il est déjà sur le départ d’une autre destination. Signe pour lui d’un exercice réussi à l’occasion duquel il s’est valorisé. Analyse…
l’ASSE et le Stade Rennais se disputeraient les services de Denis Bouanga
D’une manière quasi certaine, le Nîmes Olympique fera une excellente opération comptable en cédant son joueur. Il peut en espérer au bas mot, le double de l’indemnité sèche réglée à Lorient, pour le recruter l’été dernier : 3 millions d’euros. L’AS Saint-Etienne proposerait justement le double à Nîmes ; la radio RMC avance même l’hypothèse d’un accord trouvé entre les deux clubs. Mais le Stade Rennais ne serait pas en reste. Car 6 millions d’euros, ce n’est, ni plus ni moins, que l’estimation de la valeur marchande du joueur ; dans une proportion toutefois basse, puisque pour le CIES, sa cote oscille plutôt dans une fourchette de 7 à 10 millions d’euros.
Dans la fourchette haute des salaires du Nîmes Olympique la saison dernière
Sous contrat jusqu’au soir du 30 juin 2021, Denis Bouanga se rapproche de l’échéance, il ne souhaiterait pas prolonger, c’est donc la période pour Nîmes, de lui ouvrir la porte. Contractuellement, Bouanga souhaitera un bail plus longu, d’au moins trois ans sinon plus, et un salaire forcément supérieur au sien, au Nîmes Olympique : il serait parmi les mieux payés de son collectif, à hauteur de 35 000 euros bruts mensuels. A Saint-Etienne comme à Rennes, c’est moins que la moyenne du vestiaire.