Quel autre métier que footballeur aurait pu exercer l’attaquant de l’OM, Valère Germain ? La question lui a été posée par le magazine France Football, dans la rubrique « portrait 2.0 » du numéro « Bilan 2017 », en kiosque cette dernière semaine de l’année. Professionnel depuis 2011 mais dans le foot depuis sa plus tendre enfance, Germain ne se voyait pas ailleurs ; pas dans un autre cadre de travail que celui d’un stade ou d’un gymnase, au service de la performance physique et athlétique.
Si l’attaquant de l’OM n’avait pas été footballeur, il serait quand même resté dans le sport
« Quelque chose qui touche au sport : entraîneur, agent de joueurs ou prof de sport. » Il est vrai qu’avec Bruno, son père, lui même ancien joueur professionnel, notamment à l’Olympique de Marseille où évolue désormais le fiston, Valère Germain a été élevé à la culture sportive et intensive dès le début de sa vie. A Marseille, un 17 avril 1990. Un an environ, avant la finale européenne perdue par l’OM à Bari, face à l’Etoile Rouge de Belgrade, que son père, ex-milieu de terrain défensif, a disputé.