La cellule de recrutement de l’OM s’active pour trouver un joueur capable de porter l’attaque phocéenne sur ses épaules, la saison prochaine. Dernièrement, le magazine France Football a avancé une liste de noms que le club marseillais suivrait avec plus ou moins d’intérêt. Après le joueur de l’AS Rome, Edin Dzeko que nous avons observé, aujourd’hui, penchons-nous sur le cas de Wissamn Ben Yedder, au FC Séville. Son profil est différent des autres, il est moins dans la puissance physique, que dans la technique et le jeu avec ballon. En verve cette saison, c’est un buteur qui monte, en notoriété, en compétence. Et donc en prix. A combien pourrait se négocier un transfert de Wissam Ben Yedder de Séville à l’OM ? Focus…
Le FC Séville peut espérer au moins trois fois l’indemnité de transfert payées pour Ben Yedder au TFC
Une trentaine de millions d’euros. C’est au moins le niveau de l’indemnité (suivant de possibles variables) qu’il faudra régler au FC Séville pour espérer le faire signer. Trois fois plus que n’en a payé le club andalou au Toulouse Football Club, pour son recrutement en 2016. Depuis, Ben Yedder a découvert le plus exposé championnat de Liga espagnole, les sun light de la Ligue des champions et le vestiaire de l’équipe de France, cela a largement contribué à le valoriser financièrement. Comme il est lié au FC Séville jusqu’au terme de la saison 2020-2021, il est dans une situation contractuelle confortable pour lui et son club. Ces années à compenser pour l’OM rendent potentiellement plus chère l’opération.
Un salaire à Séville proche de celui de Konstatinos Mitroglou à l’OM
A cette indemnité déjà élevée pour les habitudes du club (à part pour le retour de Payet, jamais aucun transfert n’a coûté aussi cher), l’OM devra prendre en charge le salaire du joueur, en l’augmentant, très certainement. Présentement, Wissam Ben Yedder approche le salaire d’un certain Kostantinos Mitroglou qu’il sera voué, sinon à remplacer, alors à concurrencer. Les deux hommes avoisinent les 330.000 euros bruts mensuels. C’est l’équivalent d’un Top 5 du vestiaire dirigé par Rudi Garcia.