C’est un premier écueil dans la politique de Pablo Longoria, sous présidence à l’OM, qui va contraindre le club phocéen, à revoir sa copie. A tout le moins le forcer à ne rien entamer au prochain mercato de l’hiver, sauf à vendre d’abord, pour équilibrer les finances. C’est en gros la formule derrière la décision prise, ce vendredi 19 novembre par la DNCG ; le gendarme financier du foot français ayant décidé « l’encadrement de la masse salariale et des indemnités de mutations », du club.
L’OM devra revoir ses ambitieux sur le prochain mercato
Conséquence d’un marché de l’été (trop) ambitieux, qui n’a pas été suffisamment compensé par les cessions de contrats , seul Maxime Lopez a rapporté une indemnité sur départ, après levée de l’option d’achat sur son prêt, par Sassuolo. C’est maigre, trop, alors qu’inversement, plus de soixante millions d’euros ont été dépensés, pour se renforcer. La mise sous cloche ordonnée par la DNCG, ne remet en rien les recrues déjà actées. Mais il aura des conséquences à court terme, cet hiver et peut-être plus, selon les résultats obtenus en fin de saison, et la qualification, ou non, à la prochaine Ligue des champions.