L’OGC Nice a de la concurrence sur le dossier. C’est du moins, ce qu’affirme le 10 Sport, en évoquant l’intérêt de l’ASSE pour le milieu offensif de l’AS Nancy-Lorraine, Amine Bassi. Pensionnaire de Ligue 2 et âgé de 20 ans, c’est un joueur en devenir, plus qu’un cadre comme a pu en recruter le club stéphanois sur le dernier mercato. Comme une vague de joueurs est annoncée sur le départ dans le Forez, Sainté va avoir nécessité à se renforcer. Amine Bassi est une piste abordable pour les équipes de Ligue 1, tant que, toutefois, la concurrence ne s’intensifie pas de trop. Car plus il y aura de monde sur le dossier, plus sa cote marchande va grimper. En sachant que Nancy aura du mal à le conserver. A combien ça pourrait se négocier un transfert du milieu franco-marocain pour l’ASSE ? Vérifions…
Une valeur marchande en transfert qui peut encore évoluer suivant le fin de saison de Nancy
Il n’est pro que depuis un an, mais il progresse vite. Et bien. A ce jour, Amine Bassi oscille entre 1 et 2 millions en valeur marchande, possiblement plus d’ici au 1er juillet et l’ouverture du marché, s’il continue de briller jusqu’au bout. Sauf à ce que son club plonge en National, il sera alors même difficile d’en espérer une indemnité en retour. Déjà 26 matchs joués pour lui et six buts et cinq passes décisives à son actif. Dans la morne saison de l’ASNL, c’est assez remarquable. Et remarqué. Amine Bassi a signé un premier contrat jusqu’en 2020. De cet aspect des choses, il est au chaud, en Lorraine.
Le salaire Nancéien d’Amine Bassi, une « formalité » pour l’ASSE,l’OGCN ou tout autre club de Ligue 1
Les choses n’en resteront pas ainsi longtemps pour lui, c’est une certitude. Le poulain de Danijel Ljuboja, son agent, est réduit à la portion minimale en terme de salaire. D’après l’ESt Républicain, son salaire avoisine les 1.600 euros bruts mensuels. C’est le strict minimum autorisé en championnat de France de Ligue 2. Pour un premier contrat pro, ça peut se justifier, mais pour un joueur qui monte et qui s’impose comme l’un sinon le meilleur du collectif, c’est peu payé. C’est de surcroît, tel que le précise le quotidien départemental, assez éloigné des plus hauts revenus du vestiaires nancéien. Ça rend plus abordable encore l’opération, pour l’ASSE, l’OGCN ou d’autres potentiels.