Des renforts sont nécessaires chez les Verts, parmi les priorités l’une, selon France Football, conduirait à recruter un défenseur latéral gauche. Un nom sortirai principalement du chapeau, celui de Henri Bedimo sur qui Rudi Garcia à l’OM ne compte pas. Malgré le départ précipité de Patrice Evra, le coach phocéen ne le voit pas comme la doublure idoine à Jordan Amavi, Marseille cherche donc quelqu’un au poste. Cela pourrait ouvrir la porte à l’ASSE, qui a de gros besoins, sans gros moyens. Henri Bedimo est en ce sens une piste intéressante et d’expérience. A condition que le joueur veuille bien partir, il ne serait pas des plus chauds pour le moment. A combien pourrait se négocier le recrutement du joueur phocéen ? On décrypte…
Bedimo ne vaut plus guère en valeur de transfert, l’OM pourrait le libérer pour son salaire
A 33 ans, Henri Bedimo n’est plus vraiment en âge d’être coté financièrement sur le marché des transferts. Tout au plus approche-t-il le million d’euros, mais plus raisonnablement, il en vaut la moitié. L’OM ne l’a pas payé pour le recruter, il est arrivé libre de l’Olympique Lyonnais, au mois de juillet 2016. Marseille pourrait possiblement le libérer gratuitement, pour faire l’économie d’une saison et demi de salaire, puisque le latéral international des Lions Indomptables du Cameroun est encore sous contrat jusqu’au 30 juin 2019.
Au-delà du salary cap imposé à l’ASSE. Mais les règles évoluent chez les Verts
Question salaire, justement, Bedimo approche les 160.000 euros bruts mensuels, à l’Olympique de Marseille. C’est une estimation sans les variables. Supérieure au salary cap jusqu’à peut en vigueur à l’AS Saint-Etienne, mais les règles ont quelque peu changé, depuis l’exercice dernier, par la force des choses. L’ASSe peut désormais verser une part fixe plus importante, si la recrue en vaut le coup. Dans le cas de Henri Bedimo, il est juste de penser qu’il accepte de rogner sur ses émoluments, en contre-partie d’un temps de jeu conséquent. C’est surement du dernier challenge de sa carrière dont on parle…
Un commentaire
Ses une chevre bedimo fo arreter