C’est (normalement) bouclé pour les Girondins de Bordeaux. Depuis la fin de cette semaine, M6 a entamé le processus de vente, qui devrait à terme, en septembre si le calendrier est respecté, déboucher sur un nouvel actionnariat, à la tête du club au scapulaire. Entre les premières déclarations officielles de Nicolas de Tavernost – quand l’actuel propriétaire a formulé le souhait du groupe M6 de vendre, et l’accord trouvé avec le fond d’investissement GAPC, s’est consommé une fourchette de temps éclair, à comparer à d’autres clubs qui cherchent leur(s) repreneur(s).
En Ligue 1, l’ASSE reste à vendre, après les Girondins de Bordeaux
Comme l’ASSE, en Ligue 1, elle aussi « sur le marché des transferts » des clubs. Le club stéphanois a mandaté la banque Lazare, afin de l’aider à trouver de nouveaux investisseurs. Pour tout ou partie du club. Sans urgence de ce côté-ci, car les Verts sont à l’équilibre financier, il n’y a pas risque économique. Mais pour grandir, comme le justifie d’ailleurs très bien de Tavernost à Bordeaux, il faut une surface financière aujourd’hui colossale. Sinon à prendre des risques que les entrepreneurs en place ne veulent ou ne peuvent assumer.
Toulouse va ouvrir son capital à un grand d’Europe
En Ligue 1, dans un contexte différent de Saint-Etienne, le Toulouse FC va prochainement ouvrir son capital à un grand club d’Europe. Il n’est pas encore officiellement connu, mais il se murmure le nom de Manchester City, principale locomotive du tout puissant City Football Group avec ses franchises à Manchester, New York, ou Melbourne, et ses participations au capital des Yokohama Marinos, ou du Gérone FC.
L’ASNL prospectait déjà avant de descendre en Ligue 2
A l’)Lorraine, bien avant de retomber en Ligue 2, au bout de l’exercice 2016-2017, Jacques Rousselot avait déjà en tête de passer la main. Il espérait que ce soit chose faite, à des investisseur chinois en 2016. Mais l’affaire a capoté. Depuis quelques mois, il discute avec un fond d’investissement américain. La saison de Ligue 2 2018-2019 vient d’attaquer, les négociations suivent leur cours. A Troyes, enfin, Daniel Mansoni le président et prop l’ESTAC souhaiterait lui aussi prendre un peu de recul, mais pas s’en assurer de l’avenir du club. Il a été fait état d’un rapprochement avec la société III Sport Invest, au mois de mai dernier, qui n’a débouché sur rien, pour des raisons expliquées par Mansoni, sur le site officiel troyens.
2 commentaires
Romeyer, Caiazzo on zéro ambitions ils s’accrochent, il y a pas d’amour propre pour les verts, ce qui les intéresse l’argent du club, leur façon de vivre
Il me semble que maintenant, l’ASSE n’est plus en vente…