On vous en parle régulièrement sur Sportune tant il fait souvent parler de lui hors des pelouses de football dans les tabloïds anglais qui se régalent de ses frasques. Mario Balotelli, attaquant de Manchester City est un joueur talentueux mais capable de toutes les folies. « Un bad boy sympa » ainsi que le qualifie Frank Hoquemiller, responsable de l’agence VIP Consulting spécialisée dans le management de droit d’image de célébrités avec plus d’une centaine de personnalités de tous horizons sous contrat, avec qui nous nous sommes entretenus.
Mario Balotelli a le profil « bad boy » qui colle aux stars de Nike
Mario Balotelli a donc le profil idoine de la marque Nike, celui du « mauvais garçon » que d’autres véhiculent, des actuels Cristiano Ronaldo, Wayne Rooney ou même Franck Ribéry à d’autres plus anciens qui ont marqué et leurs époques et leur sports, Michael Jordan au basket ou André Agassi au tennis. Frank Hoquemiller ose, lui, une autre comparaison : « Balotelli, un peu comme Djibril (Cissé) à sa grande époque est un joueur qui fait vendre. Il y a certains types de marques qui peuvent aller sur lui et d’ailleurs, Nike cela fait longtemps qu’ils y croient. Ils avaient même fait un spot de pub uniquement sur lui qui est passé il y a un an ou deux avec un très gros plan média sur les chaines sportives. Ce n’était pas qu’un spot Nike mais aussi une pub sur Balotelli. »
Gare à ne pas trop en faire pour l’attaquant de Manchester City
La demande est donc forte pour ces sportifs hors norme tant, toutefois, qu’il ne franchisse pas la limite. « Il ne faut pas que cette image de « bad boy » qu’il véhicule se retourne contre lui et qu’à la fin ce soit presque un risque pour la marque, tellement il est catalogué comme un mauvais garçon, prévient Frank Hocquemiller. Moi je dis que Balotelli c’est le bad boy sympa. Et ça c’est très vendeur du moment que les limites ne sont pas dépassées. » Avec Mario Balotelli on est en cependant jamais très loin…