C’est une nouveauté de l’AS Saint-Etienne que nous relate aujourd’hui l’Equipe : chez les Verts cette saison, la grille de salaires s’inspire du modèle allemand avec une partie fixe de 60% et une variable de 40% qui dépend essentiellement du résultat et de la performance sur le terrain. Ainsi, les cadres de la formation que sont Loïc Perrin ou, selon l’Equipe, Stéphane Ruffier, le gardien fraîchement débarqué au club, sont tous au plafond salarial fixé par la direction stéphanoise à 90 000€ mensuel.
L’ASSE divise les salaires entre une part fixe et une variable
Sur la base de ces 90 000€, ils ne tient plus qu’aux joueur, le reste du mois, à compléter leur salaire en réalisant de bonnes performances sur le terrain. La méthode est novatrice et doit permettre à l’ASSE de faire encore plus d’économie sachant, précise encore le quotidien sportif, que les indésirables, Bayal, Sall, Saw, Monsoreau, N’Daw, Geslon (prêté à Leicester) et Sanogo (tous au club depuis stéphanois depuis 2009), pèsent très lourdement 8 millions d’euros sur l’ensemble de la masse salariale qui est elle à 30M€.
Les indésirables pèsent lourd sur les finances de l’ASSE
L’AS Saint-Etienne n’ayant pas le moyen de verser plus du quart de sa masse salariale à des lofteurs ou des joueurs devenus indésirables, la situation doit être amenée à changer. Et vite…