La Ligue de football n’a pas frappé le club de Grenoble d’un ou plusieurs matches à huis clos comme elle l’avait envisagé après les incidents qui ont émaillé la rencontre contre Rennes, le 19 septembre. Cela, parce que les dirigeants du club isérois ont joint leurs efforts à ceux des enquêteurs pour identifier plusieurs individus ayant usé d’engins pyrotechniques. Grenoble s’en tire à bon compte avec toutefois une amende de 25 000 euros à payer.