FOOTBALL – Et l’on reparle de Nicolas Anelka et des conséquences de ses paroles à la mi-temps du match de la France face au Mexique. Selon l’Equipe ce dimanche, les propos du joueur pourraient avoir une incidence directe sur son engagement avec les Blues de Chelsea où il a pourtant trouvé un accord pour une prolongation de son contrat jusqu’en 2013 avec une revalorisation salariale à 5,4 millions d’euros.
Chelsea avait prévenu, Anelka sur la sellette
Sauf que l’image du Français étant écornée, les Blues seraient en droit de craindre pour la leur. l’Equipe rappelle d’ailleurs que Chelsea, frappé par l’affaire Terry en début d’année, avait mis les points sur les « i » par son directeur exécutif : « Je ne veux plus vous voir dans les journaux pour de mauvaises raisons (…) sinon nous serons emmenés à prendre des sanctions pouvant aller jusqu’à l’exclusion« . Surnommé « The Sulk » (le boudeur) par la presse britannique, Anelka n’aurait pas de surcroît les faveurs de son président Roman Abramovich qui ne serait pas contre la séparation si l’entraîneur Carlo Ancelotti n’avait pas Anelka à la bonne. Le soutien de l’Italien aura-t-il suffisamment de poids pour qu’Anelka poursuive chez les Blues où l'(ex ?) international français va-t-il devoir prendre la porte sans avoir pu profiter de sa prolongation ? Au Royaume de sa majesté on dit « wait and see »…