Stade Rennais: Antonetti, le cauchemar de Barbosa
19 novembre 2011 à 15:53 par Thomas
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Frederic Antonetti, entraîneur du Stade Rennais @Icon Sport
Comment « ruiner » la carrière d’un joueur en deux temps trois mouvements ? Prenez un entraîneur à gouaille du genre l’entraîneur du Stade Rennais (à l’époque à l’OGC Nice), Frédéric Antonetti. Prenez un joueur, Cédric Barbosa, que vous rendez coupable d’une charge peu académique. Ajoutez y le contexte d’un match et des caméras. Beaucoup de caméras. Mélangez énergiquement le tout et vous obtenez… Un buzz de plus de trois ans. Car l’épisode que l’on vous raconte et que vous découvrirez en détails dans la vidéo ci-dessous, Cédric Barbosa s’en rappelle encore. Et pour cause, Frédéric Antonetti le traite « d’imbécile » mais surtout il ajoute dans le feu de l’action : « A chaque fois qu’il est dans un club ils descendent. »
Les mots d’Antonetti : « Tu tapes mon nom sur internet c’est le premier truc qui vient » dit Barbosa
« Ç’a pu jouer dans sur des choix de clubs ou j’étais en balance » dit ce samedi Cédric Barbosa dans les colonnes de L’Equipe. La raison, c’est le milieu de terrain aujourd’hui à l’Entente Evian-TG qui la donne dans les colonnes du quotidien sportif : « tu tapes mon nom sur internet c’est le premier truc qui sort ! Alors je ne peux pas dire que je ne lui en veux pas. De la part d’un éducateur c’est choquant et il ne s’est jamais excusé. »
L’entraîneur du Stade Rennais et le milieu d’Evian-TG se retrouveront le week-end prochain…
Cédric Barbosa qui ne pensait « pas revoir la L1 » a trouvé en cet épisode « une motivation ». « Quand on est monté j’ai eu une pensée pour lui » explique-t-il encore. A 35 ans, la carrière de l’ancien joueur de Montpellier et Metz touche à sa fin. Mais avant de raccrocher définitivement les crampons, il aura de nouvelles occasions de croiser le fer avec le coach du Stade Rennais. Ce sera le week-end prochain au stade de la Route de Lorient, à Rennes.
La vidéo qui fait du tort à Cédric Barbosa
Frédéric Antonetti se fait Cédric Barbosa ! par Orka
