Le mercato estival 2011 est à peine terminé que les rumeurs commencent déjà à circuler sur les recrues que pourraient embaucher le PSG cet hiver. Après avoir lâché près de 50M€ à Palerme pour faire venir 2 des joueurs vedettes du club italien, Javier Pastore et Salvatore Sirigu, le manager général, Leonardo, s’intéresse également à au défenseur international de la formation, Federico Balzaretti.
Balzaretti, un transfert d’amour au PSG ?
Le président de Palerme, Mauricio Zamparini, a laissé planer un doute, ces derniers jours, sur un éventuel départ de son protégé en janvier 2012. Une rumeur ponctuée du fait que la femme du joueur, Eleonora Abbagnato, célèbre ballerine, est actuellement « première danseuse » (2ème grade dans la hiérarchie après « l’étoile ») à l’Opéra de… Paris. Un transfert d’amour se profilerait-il ? Encore faut-il que Palerme et le PSG s’y retrouvent financièrement. On fait le point sur ce que coûte(rait) un éventuel transfert de Balzaretti au PSG cet hiver.
Balzaretti triplerait son salaire en signant au PSG
Côté salaire, le PSG apparaît comme un véritable eldorado pour l’Italien. Actuellement payé 900 000 euros net par an à Palerme (selon l’enquête sur les salaires des joueurs de Serie A de la Gazzetta dello Sport), le joueur pourrait espérer une rémunération multipliée par 3 en France. Diego Lugano, le nouveau défenseur parisien tout droit venu de Fenerbahçe a, par exemple, signé pour 2,5M€ net annuel de salaire.
Balzaretti un transfert au PSG évalué entre 4 et 5M€
Côté indemnité de transfert, à 29 ans, les transferts de l’Italien n’ont jamais dépassé 4M€ durant toute sa carrière. C’était le cas en juillet 2007, lorsqu’il a quitté la Juventus Turin pour la Fiorentina contre 3,8M€. Même somme en janvier 2008 pour rejoindre Palerme. Le tarif minimum semble donc fixé. Le contrat du joueur approchant (juin 2013), Mauricio Zamparini aura du mal à faire grimper les enchères au-delà de 5M€. 4 à 5M€ d’indemnité et un salaire de 2,5M€ net annuel, voici donc ce que devront mettre les Qatariens du PSG sur la table pour rapprocher Federico Balzaretti de sa chère et tendre de l’Opéra de Paris.