Sonny Bill Williams… retenez bien ce nom. Samedi, lors du choc de la Coupe du monde de rugby 2011, France – All Blacks, le trois-quarts centre néo-zélandais est annoncé comme l’un des bourreaux du XV tricolore. En tout cas s’il… rentre en jeu. Car si SBW est incontestablement LA star médiatique de ce début du Mondial comme a pu l’être Sébastien Chabal en 2007, il n’est pour l’instant annoncé que remplaçant pour ce grand choc des phases de poule. Une sorte d’impact player, qui entre en jeu en cours de match pour casser la baraque.
Sonny Bill Williams, l’homme médiatique à suivre de France – All Blacks à la Coupe du monde de rugby 2011
Certains le disent très (trop ?) interessé par l’argent, n’hésitant pas à boucler ses fins de mois en participant à des matches de boxe. Fut un temps, une partie de la presse l’avait même affublé du surnom révélateur de « Money Bill ». Pourtant, n’allez pas croire que Sonny Bill Williams se prélassent toujours dans le luxe. Preuve en est avec cet anecdote livrée par le journal L’Equipe, ce vendredi.
SBW, une star médiatique… qui accepte de voler en classe économique
En octobre dernier, alors que les All Blacks prenaient la direction de Honkong pour un match contre l’Australie, le beau Sonny Bill Williams a accepté sans broncher de faire tout le trajet en classe économique, pendant que les plus anciens joueurs néo-zélandais avaient droit au confort de la business class. Une attention que SBW a payé cache. Inconfortablement assis durant plus de 6 heures, le trois-quarts a ressenti des douleurs au mollet et a dû être hospitalisé à cause d’un risque de phlébite. Il a failli être forfait pour sa première sélection avec les All Blacks. A vouloir être gentil, parfois…