Courtisé par la Juventus Turin qui cherche une solution à ses problèmes sportifs, le technicien brésilien, Luiz Felipe Scolari, a poliment décliné l’offre car il se dit « complètement satisfait par les conditions que m’offre le club de Bunyodkor. J’ai tout ce dont j’ai besoin pour faire confortablement mon travail, donc je resterai en Ouzbékistan jusqu’au terme de mon contrat. »
Ce que veut nous dire l’ancien champion du Monde 2002 aux commandes de la sélection brésilienne, c’est qu’à 16 millions d’euros par an qu’il touche en Ouzbékistan, rares sont les clubs à pouvoir s’aligner. Et que quelque soit le challenge sportif qu’on lui propose, il n’est visiblement pas disposé à s’asseoir sur ses émoluments financiers. Au moins c’est clair…