Le PSG et l’ASSE vont enfin pouvoir en découdre. Initialement programmée au 25 avril, la finale de Coupe de France a été reportée à ce vendredi 24 juillet, pour cause de pandémie. Les deux formations visent, respectivement, un treizième et septième trophée à ajouter à leur palmarès. Au delà de l’enjeu sportif, le financier n’est pas à négliger. Le vainqueur de la finale remportera une prime à la performance de 1,5 M€.
Une finale de Coupe France à 1,5 M€
À ce stade de la compétition, Parisiens et Stéphanois ont déjà empoché la somme de 542 500 euros, chacun. Il faut savoir que chaque tour de franchi dans ce tournoi, permet une entrée d’argent aux clubs qualifiés. Les deux équipes étant admises en 32e de finale (stade d’entrée des clubs de la Ligue 1), ont débuté la campagne avec une prime de 30 000 euros. Au fur et à mesure, les bonus ont augmenté. Les 16es de finales rapportent 50 000 euros, puis 70 000 euros pour les 8es et 112 500 euros pour les quarts. L’accession aux demi-finales ajoute 280 000 euros, payés par la Fédération française de football qui organise l’épreuve. Et le vainqueur de la rencontre, ce vendredi 24 juillet, se verra attribuer une prime à la performance, comme indiqué précédemment (de 1,5 M€), qui élève le total à un peu plus de 2 M€.
PSG – ASSE : un manque à gagner côté billetterie pour les deux clubs
Le finaliste vaincu recevra une somme de 950 000 euros. Le total des gains s’élève donc à près de 1,5 M€ pour le perdant. Crise sanitaire oblige, l’affluence sera réduite à sa portion la plus minimale possible, ce vendredi. Le stade de France pouvant accueillir plus de 80 000 spectateurs, ce ne sont que 5 000 personnes qui sont autorisées à y pénétrer, pour cette rencontre. Les groupes de supporters des deux clubs, à qui 900 places ont été attribuées, ont indiqué qu’ils ne feraient pas le déplacement. En cas de victoire pour l’ASSE, les Verts se qualifieraient directement en phase de groupe de C3, synonyme de recettes supplémentaires.