Un contrat proche de 31,5 millions d’euros par an, jusqu’au terme de la saison 2027-28 : voilà ce que viennent récemment de signer le Borussia Dortmund et l’équipementier Puma qui le fournit. Entre les deux le rapport est plus que commercial car la marque allemande est aussi dans l’actionnariat du club, à part minoritaire. Ce nouveau deal confirme le BVB comme la deuxième puissance de Puma, en terme d’investissement financier, saisonnier.
L’OM et le Milan AC ont des conditions contractuelles proches avec Puma
Au top 5 des contrats maillots les plus chers en clubs (excluant de fait les sélections nationales), l’OM est sur le podium. Depuis la saison 2018-19, Puma habille les joueurs phocéens et ce, jusqu’en au 1er juillet 2023. A ce titre, elle verse 14 millions d’euros par an, à l’équipe de Dimitri Payet, Morgan Sanson ou Dario Benedetto, qu’elle a individuellement comme ambassadeurs. Plus ou moins, ce ne sont que des estimations, toutes liées à des bonus aux résultats en compétitions, et possiblement des royalties indexés aux ventes de tuniques et autres produits dérivés associés.
Manchester City pour nouvelle vitrine de la marque allemande
L’Olympique de Marseille a un partenariat proche de celui du Milan AC, pour lequel Puma paie 12 millions par an. Et 8 à 10 millions d’euros au Borussia Mönchengladbach, qui suit. Loin devant toutes les autres équipes, Manchester City est LA locomotive de la marque allemande. Signé l’hiver dernier, pour la période 2019-2020 à 2029-30, il vaut 75 millions d’euros par an, selon le cours de la livre sterling. C’est à ce titre le 4e contrat équipementier le plus cher du football, à égalité avec Nike au PSG et après le Real Madrid (adidas, 120 M€/an), le Barça (Nike, 105 M€/an) et Manchester United (84 M€/an d’adidas).