Qu’y a-t-il entre un deux-roues classique, type scooter ou moto et une trottinette comme il en fleurit de plus en plus dans les grandes villes ? Peut-être le Road Runner, étonnant appareil qui associe le confort du déplacement d’un deux roues motorisés, à la pratique écologique et citadine d’une trottinette. A l’OM, Bouna Sarr a craqué depuis l’été, pour un modèle dit « Harley » qu’il a fait personnaliser, à son nom et aux couleurs des phocéens. Tout blanc sur la coque extérieure, avec le bleu typique du club marseillais ; à son guidon, le latéral droit ne doit pas passer totalement inaperçu.
L’OM jusque sur le Road Runner version Harley de Bouna Sarr
Cet appareil n’est pas une moto classique. Selon les versions, certaines nécessitent l’obtention du Brevet de sécurité routière (BSR) et le port d’un casque ; dans tous les cas recommandé, même quand il n’est pas obligatoire. Le modèle « Harley » de Bouna Sarr se décline en deux versions, toutes options ou non, avec une vitesse maximale pouvant différemment atteindre les 25 ou 45 km/h. Idéal pour de courts déplacements urbains, de surcroît dans une région de la Méditerranée, où le niveau d’ensoleillement est supérieur à la majorité du territoire national.
Un engin entre la trottinette et le deux-roues
D’un poids compris entre 65 et 80kg, le Road Runner est évolutif. Sur les réseaux sociaux de la marque française, il en existe avec un side-car ou en version à trois roues. C’est plutôt ludique, mais il faut payer près de 2.000 euros ou plus, pour en avoir un à l’état neuf.