Même ce que l’on croit durable sinon éternel a sa part d’incertitude. Prenez Andres Iniesta, l’Espagnol restera à jamais lié au FC Barcelone avec lequel il s’était d’ailleurs engagé sur un contrat signé « à vie ». Le milieu de terrain catalan aurait pu achever sa carrière chez les Blaugrana et prendre une retraite méritée, mais plutôt que de raccrocher, il a souhaité continuer encore un peu, quitte à s’exiler loin au Japon. L’histoire avec le Barça finie, une autre s’est achevée pour le joueur, avec Nike, son équipementier historique.
Fin d’un très long cycle entre Nike et Andres Iniesta
Cela faisait 19 ans que la marque à la virgule habillait ou chaussait le milieu international espagnol. Désormais au Vissel Kobe, Iniesta se fait fort de contribuer au développement du football, au Japon. En rejoignant ASICS, marque iconique du pays au Soleil levant, c’est une excellente manière de le prouver. En tant que référence internationale des années 2010 à aujourd’hui, Iniesta est précieux pour aider à l’essor de la marque et de ses produits. « Je suis déterminé à inciter les autres à bouger davantage et à élever le niveau de jeu au Japon afin de réduire l’écart entre le football asiatique et le reste du monde. » a dit Iniesta à l’officialisation du partenariat.
L’ex-joueur du Barça devient l’ambassadeur premium de la marque ASICS
Ses crampons Magista Nike aux oubliettes, Andres Iniesta va désormais évoluer, avec et pour le développement d’ASICS. Il sera l’image associée à la campagne, « I love me », pour encourager le plus grand nombre à la pratique du sport. La marque nippone créée sur la fin des années 40, a une renommée internationale, avec une présence surtout accrue dans l’univers du running qu’elle domine.
Día muy especial en esta nueva etapa. Feliz de formar parte de la familia Asics. #INIESTASICS #IMoveMe #ASICS @asics_jp
Very special day in this new stage of my career. Happy to be part of Asics family. #INIESTASICS #IMoveMe #ASICS pic.twitter.com/GhhXnSuajz
— Andrés Iniesta (@andresiniesta8) 22 octobre 2018
Un commentaire
Je ve un crampon