En voilà un qui va inévitablement alimenter la chronique mercato, à l’ouverture de la prochaine fenêtre officielle. Quelle que soit la position des Girondins de Bordeaux avec lui, Malcom a bien assez de courtisans pour ne pas nourrir l’intérêt. L’attaquant brésilien de 20 ans est très suivi en Espagne, en Allemagne également, sinon par l’Inter Milan, la Roma ou Arsenal qui l’ont déjà observé. Avec toute cette concurrence sur le dossier, Bordeaux aura surement du mal à conserver Malcom Filipe Silva de Oliveira de son nom complet, si la pression s’intensifie sur son cas. L’objectif sera alors, pour le club au scapulaire, d’en tirer le meilleur bénéfice. En rappelant qu’il l’a signé, en 2016, moyennant 5 millions d’euros d’indemnités de son transfert (hors bonus). Certains médias affirment qu’il pourrait valoir jusqu’à 10 fois plus. A combien pourrait se négocier un transfert de Malcom ? Regardons…
Les Girondins de Bordeaux peuvent espérer une plus-value historique sur le transfert de Malcom
L’essentiel pour les Girondins de Bordeaux a été de prolonger le joueur, au mois de septembre dernier. Le Brésilien est désormais lié contractuellement aux Marines, jusqu’à la fin de l’exercice 2020-2021. Cela donne aux Girondins, une marge bien plus large pour agir, soit en le gardant, soit en acceptant de s’asseoir à la table des négociations. Auquel cas, ils pourront espérer réussir la vente la plus chère de l’histoire du club et par la même occasion, la plus grosse plus-value enregistrée. 50 millions d’euros est peut-être ambitieux, la valeur marchande du joueur avoisinant plutôt les 30 millions d’euros. Rien n’interdit cependant d’y croire, ce football là marche si souvent sur la tête, que les cotes initiales n’ont parfois plus cours, quand les clubs cherchent à tout prix à se renforcer. Quitte à surpayer.
Montrer ses plus atouts (contractuels et financiers), pour séduire l’attaquant brésilien
Sur le salaire, celui de Malcom a été revalorisé au mois de septembre dernier, à des proportion proches des plus hauts salaires du vestiaire, le plus élevé étant présentement celui de Jérémy Toulalan à près de 175.000 euros bruts mensuels. Comprendre que pour débaucher l’attaquant auriverde, il faudra, outre s’entendre avec les Girondins de Bordeaux, déployer de solides arguments financiers pour l’attirer dans ses filets.