Son premier essai demeuré infructueux – avec la start-up Mobitto, sur laquelle il a investi en 2012 avant qu’elle ne disparaisse -, Cristiano Ronaldo est de retour sur le digital. En tant que patron du web, s’entend. Mais de façon différente, l’attaquant du Real Madrid est depuis peu, l’actionnaire d’une agence digitale portugaise du nom de Thing Pink. C’est notamment elle qui a développé toute la partie technologique et numérique du musée CR7, à Funchal, sur l’île de Madère.
Cristiano Ronaldo est devenu l’actionnaire majoritaire de la société portugaise Thing Pink
L’investissement de Cristiano Ronaldo n’est pas connu, selon le journal économique ECO au Portugal, à qui l’on doit l’explication au message récemment posté par le joueur sur ses réseaux sociaux, annonçant le lancement prochain d’un projet « 7egend ». 7, comme le numéro fétiche de Ronaldo qui ici se comprend sous la forme de « légende ». C’est bien tourné et c’est désormais une marque déposée, car c’est le nom que prendra prochainement Thing Pink.
Une agence composée de spécialistes et de « pirates » du web
Les activités de l’agence (fondée en 2007), sont assez classiques, elle se présente comme un groupe de spécialistes du digital, composé « de stratèges, designers, ingénieurs, producteurs, hackers (sic) et de geeks fiers, chargés d’imaginer les expériences numériques et les écosystèmes ». Outre le musée CR7, Thing Pinkf (ou 7egend, les deux noms sont désormais associés sur le même site du groupe), collabore avec des marques connues, comme McDonald ou la chaîne française, Fnac.
Ce n’est pas la première expérience de Cristiano Ronaldo dans l’univers du numérique
Cristiano Ronaldo, on l’a dit, a déjà tenté de poser le pied dans l’univers du digital. Profitant de sa popularité déjà énorme en 2012, il a cru au projet compliqué de Mobitto, une entreprise qui pensait pouvoir rapprocher les marques et les individus par différentes interactions. Le projet n’a jamais décollé, il a été abandonné deux ans plus tard.