Cela n’a encore rien d’officiel, tant que l’AS Monaco ne prend pas plus de dix-sept pions, au cours des deux matchs qu’il lui reste. Et que le Paris Saint-Germain gagne bien évidemment le dernier à jouer. Mais c’est clairement tout comme, que le club Princier sera roi de Ligue 1 et le club de la capitale son dauphin. La deuxième place de Ligue 1, la Ligue de football professionnel (LFP) qui héberge la compétition, la paie une quinzaine de million d’euros. Contre 17 millions d’euros environ la première.
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Une quinzaine de millions d’euros au PSG pour la deuxième place finale
Ce sont les recettes de l’audiovisuel, qui comptent toutefois plus dans la trésorerie finale, que les primes de classement des équipes du championnat de France. Et plus encore les bénéfices enregistrés tout au long de la saison, des revenus du stade et de la billetterie, du merchandising (maillots, produits dérivés…) et de toutes les autres opérations financières opérées par ailleurs.
Une prime partagée entre les joueurs du collectif d’Unai Emery
La preuve étant que pour les trois premiers de Ligue 1 (et pour d’autres clubs qui le proposent à leur joueurs sous forme d’incentives), cette prime de classement est partagée entre tous les éléments du groupe professionnel, au prorata des matchs disputés dans la compétition.