Impossible pour une marque à dimension internationale qui compte plusieurs millions de fidèles de réussir à faire l’unanimité. C’est chaque année la même chose et souvent les mêmes polémiques. Ce FIFA 16, l’opus phare du groupe EA Sports ne déroge pas à la règle.
En Angleterre, c’est un Allemand qui divise, répondant au nom de Per Mertesacker. Du Mirror à Express en passant par le Daily Mail pour certains des plus populaires, toute la presse débat du cas du défenseur d’Arsenal à qui les équipes de FIFA 16 ont attribué la note générale de 88.
Cela fait de lui le sixième meilleur défenseur du jeu et le seul représentant du championnat de Premier League anglaise dans le Top 10. C’est assez pour que certains crient au scandale.
Que Sergio Ramos soit considéré comme plus faible que Mertesacker passe encore. L’Espagnol joue au Real Madrid, pour n’importe quel supporteur de Premier League un peu chauvin, tout cela ne tient qu’à du détail. Mais que l’Allemand meilleur soit mieux noté que John Terry capitaine de Chelsea ou Vincent Kompany, celui de Manchester City voir Chris Smalling de United ça, le fan de foot anglais ne le comprend pas.
Alors il râle, abondamment sur les réseaux sociaux et la presse s’empare à son tour du sujet. Tout cela pour finalement nous donner la preuve que FIFA est devenu, plus qu’un simple je de foot sur console, un vrai phénomène de société.