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Danse avec les stars 2: Candeloro, la bonne affaire…

12 novembre 2011 à 21:22 par Palissarde

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Philippe Candeloro

Philippe Candeloro

Philippe Candeloro est le dernier représentant des sportifs, ce samedi, dans la célèbre émission de TF1, Danse avec les Stars 2. L’ancien champion de patinage artistique est qualifié pour les demi-finales en compagnie de sa partenaire, Candice. Vu le succès de l’émission, qui atteint 5 millions de téléspectateurs le samedi soir, Candeloro méritait bien un petit clin d’oeil de Sportune pour ces demies. Car au-delà de la compétition, la participation au programme de la Une constitue surtout un bien joli coup de communication pour l’ancien vice-champion du monde, surnommé par certains de « radin » et qui se définit volontiers, pour sa part, comme quelqu’un d’économe.

Les cachets de Candeloro pour Danse avec les Stars 2, c’est secret défense…

« Au final, je ferai une bonne opération sur les plans sportif, financier et en terme de notoriété, confirme le candidat, cette semaine, au magazine Public (et oui, de L’Equipe aux magazines People, on a des sources très variées chez Sportune…). Candeloro explique également d’ailleurs ne pas être en droit de révéler combien il gagne pour participer à Danse avec les Stars 2. En revanche, il concède tout de même que les cachets augmentent au fil des semaines, ce qui, en soit, parait on ne peut plus normal… Une logique de rémunération qui, finalement, correspond aux revenus que touchait le champion lors de sa carrière sportive et qui étaient directement liés à ses performances en compétition.

Candeloro n’a « jamais eu de gros salaires »

« J’ai jamais eu de gros salaire, j’avais des primes, explique-t-il à Gazetteinfo.fr. Je ne savais pas de quoi serait fait le lendemain, et j’ai toujours eu la présence d’esprit de me dire que le sport, ça ne dure pas toute la vie. Du coup, je mettais beaucoup de côté, mais il faut également vivre un peu. J’ai commencé très jeune. A 11 ans, je commençais déjà à faire des galas, et même si je gagnais que 100 balles, ça me permettait d’avoir un peu d’autonomie et de ne pas toujours quémander à ma mère pour m’acheter quelque chose. Mon premier gros achat c’était mon 125 RG quand j’avais 17 ans. Ma mère était contre mais comme j’avais le pognon pour l’acheter, je l’ai fait. » A sa plus grand époque, soit au milieu des années 90, les revenus de Philippe Candeloro auraient atteint les 1,5 millions de francs annuels, soit environ 230 000 euros annuels ou encore 19 000 euros par mois, selon les chiffres de Libération


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